Acheter Duphaston 10 mg Dydrogestérone générique
Nom générique : Dydrogestérone
Comprimés pelliculés ronds, biconvexes, blancs. 1 comprimé contient :
Substance active : dydrogestérone – 10 mg.
Groupe pharmacothérapeutique : progestatif.
Dufaston (dydrogestérone) est un progestatif actif par voie orale et est indiqué dans tous les cas de déficit endogène en progestérone. La dydrogestérone assure le début de la phase sécrétoire dans l’endomètre, réduisant ainsi le risque d’hyperplasie endométriale et/ou de carcinogenèse induite par les œstrogènes. Il n’a pas d’activité œstrogénique, androgène, anabolique et glucocorticostéroïde.
La dydrogestérone n’est pas un contraceptif. L’effet thérapeutique sur le fond de la prise de dydrogestérone est obtenu sans supprimer l’ovulation.
Duphaston 10 mg prix en ligne
- 10 pilules – €4.52 par pilule – €45.20
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Duphaston dosage et administration
Duphaston contient de la dydrogestérone, une hormone synthétique semblable à la progestérone. Le traitement est appliqué pour rétablir l’équilibre d’hormones en cas de déficience de synthèse de progestérone dans le corps (stérilité, avortement, syndrome prémenstruel, dysménorrhée, règles irrégulières, aménorrhée secondaire, saignement utérin déréglé). La médication stimule le début de la phase de sécrétion au niveau de l’endométriome, réduisant ainsi le risque d’hyperplasie endométriale et de carcinogenèses, lequel augmente à cause de la présence de l’oestrogène.
Après administration orale, la dydrogestérone est rapidement absorbée. Le temps nécessaire pour atteindre la concentration maximale de dydrogestérone varie de 0,5 à 2,5 heures Après administration orale, la dydrogestérone est métabolisée en DHD. La Cmax du principal métabolite de la DHD est atteinte environ 1,5 heure après la prise du médicament. La concentration de DHD dans le plasma sanguin dépasse de manière significative la concentration de dydrogestérone. La propriété commune à tous les métabolites est la préservation de la configuration 4,6-dien-3-one du composé parent et l’absence de réaction de 17α-hydroxylation. Ceci explique l’absence d’effets œstrogéniques et androgènes dans la dydrogestérone.
En moyenne, 65 % de la dose est excrétée par les reins (avec l’urine). La dydrogestérone est complètement éliminée de l’organisme après 72 heures. Lors de la comparaison des paramètres pharmacocinétiques pour une administration orale unique et multiple, il a été constaté que la pharmacocinétique de la dydrogestérone et de la DHD ne changeait pas avec une utilisation répétée. Un état stable est atteint 3 jours après le début du traitement.
Les indications: Pourquoi prendre Duphaston?
Conditions caractérisées par un déficit en progestérone :
- endométriose;
- infertilité due à un déficit de la phase lutéale;
- la menace d’avortement;
- fausse couche habituelle;
- syndrome prémenstruel;
- dysménorrhée;
- menstruations irrégulières;
- aménorrhée secondaire;
- saignements utérins dysfonctionnels.
Traitement hormonal substitutif (THS) :
Pour contrecarrer l’effet prolifératif des œstrogènes sur l’endomètre dans le cadre d’un THS chez les femmes présentant des troubles causés par la ménopause naturelle ou chirurgicale avec un utérus intact.
Chaque situation nécessite un traitement et un schéma posologique spécifiques. Suivez toutes les instructions de votre médecin. Pour le traitement de l’endométriose, prendre 10 mg de Duphaston deux à trois fois par jour du 5ème au 25ème jour du cycle. Pour le traitement de l’infertilité, prendre 10 mg par jour du 14ème au 25ème jour du cycle. Le traitement doit être effectué régulièrement pendant trois, six cycles consécutifs ou plus. Informez votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous allaitez avant de prendre ce médicament. Le traitement hormonal substitutif ne doit pas être prescrit sans un examen médical général, y compris une pelvioscopie. Votre médecin peut vous demander de passer des mammographies régulières.
Ce médicament est déconseillé aux personnes présentant une hypersensibilité à Duphaston, au syndrome de Dubin-Johnson (augmentation de la bilirubine, accompagnée d’une diminution des enzymes hépatiques), au syndrome de Rotor (affections autosomiques récessives bénignes de la bilirubine).
Posologie de Duphaston 10 mg
Le médicament est pris par voie orale. La ligne de coupe est destinée uniquement à faciliter la rupture du comprimé et la facilité d’ingestion, et non à le diviser en doses égales. La durée du traitement et les doses peuvent être adaptées en fonction de la réponse clinique individuelle du patient et de la sévérité de la maladie dans le cadre du schéma posologique présenté ci-dessous :
Endométriose
10 mg 2 à 3 fois par jour du 5ème au 25ème jour du cycle menstruel ou en continu.
Infertilité (due à un déficit de la phase lutéale)
10 mg par jour du 14ème au 25ème jour du cycle. Le traitement doit être effectué en continu pendant au moins 6 cycles consécutifs. Dans les premiers mois de grossesse, il est recommandé de poursuivre le traitement selon le schéma décrit pour les fausses couches à répétition.
Risque de fausse couche
40 mg une fois, puis 10 mg toutes les 8 heures jusqu’à disparition des symptômes.
Fausse couche habituelle
10 mg 2 fois par jour jusqu’à la 20e semaine de grossesse, suivi d’une réduction progressive de la dose.
Syndrome prémenstruel
10 mg 2 fois par jour du 11 au 25 jours du cycle menstruel.
Dysménorrhée
10 mg 2 fois par jour du 5ème au 25ème jour du cycle menstruel.
Aménorrhée secondaire
Préparation d’œstrogènes 1 fois par jour du 1er au 25e jour du cycle, avec 10 mg du médicament Duphaston® 2 fois par jour du 11e au 25e jour du cycle menstruel.
Saignement utérin dysfonctionnel (pour arrêter le saignement)
10 mg 2 fois par jour pendant 5 ou 7 jours.
Saignements utérins dysfonctionnels (pour prévenir les saignements)
10 mg 2 fois par jour du 11 au 25 jours du cycle menstruel.
THS combiné avec des œstrogènes
Avec un régime séquentiel continu – 10 mg de dydrogestérone par jour pendant 14 jours consécutifs dans un cycle de 28 jours. Avec un schéma cyclique (avec l’utilisation d’œstrogènes en 21 jours avec des pauses de 7 jours) – 10 mg de dydrogestérone par jour pendant les 12 à 14 derniers jours de prise d’œstrogènes.
Si une biopsie ou une échographie indique une réponse insuffisante à un médicament progestatif, la dose quotidienne de dydrogestérone doit être augmentée à 20 mg.
Si vous oubliez de prendre un comprimé, vous devez le prendre dès que possible, dans les 12 heures suivant votre horaire habituel. Si plus de 12 heures se sont écoulées, le comprimé oublié ne doit pas être pris et le lendemain, le comprimé doit être pris à l’heure habituelle. L’omission d’une dose peut augmenter le risque de saignement.
L’utilisation de dydrogestérone avant la ménarche n’est pas indiquée. La sécurité et l’efficacité de la dydrogestérone chez les adolescentes âgées de 12 à 18 ans n’ont pas été établies. Les données limitées actuellement disponibles ne permettent pas de recommandations posologiques pour ce groupe d’âge.
Les effets secondaires possibles
Les réactions les plus connues sont les maux de tête, les nausées, les étourdissements, les ballonnements, les réactions cutanées (rougeurs et démangeaisons), la sensibilité des seins.
Les effets indésirables les plus fréquents dans les études cliniques chez les patientes qui utilisaient la dydrogestérone pour des indications non liées à la prise d’œstrogènes étaient les saignements intermenstruels, la sensibilité/sensibilité des seins, la migraine/les maux de tête.
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris les kystes et les polypes): rarement – une augmentation de la taille des néoplasmes progestatifs-dépendants (par exemple, les méningiomes).
Du côté du système sanguin et lymphatique: rarement – anémie hémolytique.
Troubles du système immunitaire : rarement – hypersensibilité.
Troubles mentaux : rarement – dépression.
Du système nerveux : souvent – migraine/maux de tête ; rarement – vertiges; rarement – somnolence.
Troubles du système hématopoïétique et lymphatique – hypersensibilité.
Du tractus gastro-intestinal : souvent – nausées ; rarement – vomissements.
Du côté du foie et des voies biliaires : rarement – altération de la fonction hépatique (avec jaunisse, asthénie ou malaise, douleurs abdominales).
Affections de la peau et du tissu sous-cutané : rarement – dermatite allergique (par exemple, éruption cutanée, démangeaisons, urticaire) ; rarement – œdème de Quincke *.
Organes génitaux et glandes mammaires : souvent – irrégularités menstruelles, dysménorrhée et menstruations irrégulières. Douleur thoracique; rarement – gonflement des glandes mammaires.
Effets secondaires indésirables pouvant survenir lors d’un traitement par œstrogènes-gestagènes :
• cancer du sein, hyperplasie de l’endomètre, cancer de l’endomètre, cancer de l’ovaire ;
• thromboembolie veineuse ;
• infarctus du myocarde, maladie coronarienne, accident vasculaire cérébral ischémique.
Contre-indications
- Les contre-indications à la prise d’œstrogènes en association avec des progestatifs tels que la dydrogestérone doivent être prises en compte.
- saignements vaginaux d’étiologie inconnue ;
- dysfonctionnement hépatique sévère au moment ou dans les antécédents avant la normalisation des tests hépatiques ;
- hypersensibilité à la dydrogestérone ou à d’autres composants du médicament ;
- Tumeurs malignes dépendantes des progestatifs ou des œstrogènes diagnostiquées ou suspectées (par exemple, méningiome).